David Perrache
Il a écrit "28 années plus tard". Pour le contacter, écrire un email à 5onno9<a>voila.fr
Si David Perrache scribouille sur ces bon vieux zombies, il ne se prive
pas également de griffonner sur ses amis les cochons (cf. "Homo Porcus" in
Amer n°4 (http://zamdatala.net/)).
Pour en savoir plus sur cet illustre inconnu, nous vous invitons à vous
rendre sur la page Wikipedia qui, malgré quelques erreurs et omissions,
donne un bon aperçu de son parcours foisonnant.
(http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Perrache).
Extrait :
Leurs airs de zonards qu’on aurait surpris au réveil, après des années d’hibernation et de défonce dans une quelconque chambre froide d’une quelconque morgue, leurs allures de mal rasés, mal lavés, mal soignés, mal coiffés, mauvais poil, bref, leurs tronches de déterrés et leurs vieilles dégaines ne reflétaient pas un mauvais fond. On ne peut pas juger une personne sur sa vilaine peau et son teint de macchabée : la réalité est parfois trompeuse.
Dernières actualités de l'auteur (octobre 2012)
hello,
sachez qu'est paru un numéro de "quoique", simple gazette, regroupant
textes et images (photos, gravures, peintures), où il est question de
douche froide, de boîtes de conserve, de mouches et de gastéropodes
échappés d'un bestiaire brûlant, de médecine légale, d'une femme changée
en renard, d'un pavillon psychiatrique, d'ectoplasme honteux, bref de
chair fraîche et de chair un peu moins fraîche - si vous souhaitez y voir
d'un peu plus près, nous vous suggérons d'aller jeter un œil ici:
http://quoique.net/
ces 32 pages (dont certaines en couleurs) grand format (quasi A3) sont
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voisins de palier, le prix de vente tombe à trois euros la pièce pour (au
moins) cinq exemplaires achetés.
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